Du 12 au 16 septembre 2014 :
Découverte du Calvados
et de ses souvenirs
de la 2° guerre mondiale,
dont voici la carte ci-dessous...

...étant précisé que nous avons visité essentiellement
la partie ouest de ce département, à partir d'Ouistreham.

Avons commencé par
la visite du Mémorial Pegasus à RANVILLE.

Ce Mémorial est un musée consacré aux hommes
de la 6ème Division
aéroportée Britannique,
qui ont été les premiers libérateurs
à poser le pied en Normandie
dans la nuit du 5 au 6 Juin 1944.

La division était composée de parachutistes
et de troupes aéroportées
transportés à bord
de planeurs Horsa et Hamilcar.

Ci-dessus, on voit des reconstitutions,
grandeur nature, de ces planeurs,
ainsi qu' une maquette de parachutiste...

...de même que des restes d'un de ces planeurs
conservés sous cet abri.

La mission de la 6ème Division aéroportée
devait s’effectuer
selon plusieurs objectifs :
- Tout d'abord, la prise intacte des ponts
(que l'on voit ci-dessus signalés en rouge clair)
sur le canal de Caen à
Bénouville et sur l’Orne à Ranville,
afin de permettre la traversée de renforts
alliés venant des plages.
- Puis la prise de la batterie de Merville
avec
destruction de ses canons
pour empêcher les tirs en direction de la plage Sword
sur Ouistreham et en direction de la flotte alliée au large.
- Enfin la prise de
position sur les hauteurs à l’Est de l’Orne
et destruction des ponts sur la
Dives.

Le Général Gale
commandant britannique
de la compagnie du bataillon chargée
de prendre les ponts, et qui a donc tenu
le flanc Est des plages du débarquement.
Ce mémorial permet de visiter le pont
original,
déplacé à proximité de son enceinte,
de même qu'une maquette de ce célèbre pont...
...qui a été pris intact par la division, comme le montre
cette photo avec, à l'arrière, des planeurs.

Ce mémorial contient divers souvenirs, véhicules...
...canons et chars ayant accompagnés
les parachutistes lors de leurs opérations
préalables au débarquement...

...de même que de nombreuses photos...
...de soldats allemands
principalement à Caen.

La visite de la ville d'Ouistreham
n'est pas dénuée d'intérêt :
Lors de la Seconde Guerre mondiale, Ouistreham est
occupé par les troupes allemandes.
À partir de 1942 la zone de la plage devient
un no man's land ;
123 villas en bordure de la mer sont rasées pour faire place
aux défenses du Mur de l'Atlantique :
80 ouvrages en béton et un poste
d'observation d'artillerie surplombant la plage « le grand bunker » sont
édifiés.
Le 6 juin 1944, ce poste de surveillance devient un lieu
stratégique
et sa prise permet d'assurer le point de débarquement sur la plage de Sword Beach.
Le commando no 4 du commandant Philippe Kieffer
comportant les 177 fusiliers marins français
a ensuite atteint les
ponts de Bénouville (Pegasus Bridge)
et Ranville et opéré ainsi la jonction
avec les parachutistes
de la 6e DAP (Airborne britanniques) après des combats de rues à
Ouistreham.

de nombreuses nouvelles villas colorées...

...se répartissent sur le territoire...

...de la ville d'Ouistreham.

Beaucoup de ces villas appartiennent
à des Américains,des Anglais et des Canadiens :
N'oublions pas que cette ville a été libérée, par ces derniers, en 1944.

La Poste d'Ouistreham.

L'église d'Ouistreham
devant laquelle flottent des drapeaux
des U.S.A de l'Angleterre et du Canada.

Direction Caen, pour visiter un célèbre Mémorial :

Le Mémorial de Caen est un musée
consacré à l’histoire du XXe siècle
dont la thématique tout entière est tournée vers la paix.
L'intérieur de ce Mémorial, raconte
et explique ce que fut la 1ère moitié du XX° siècle.
Nous n'avons visité que la partie dédiée à la seconde guerre mondiale
comportant de nombreuses photos, ou extraits de films,
de cette sombre période.

A titre d'exemples :
Représentation du traité de Versailles.

La conférence de Munich et le retour
de Chamberlain à Londres.

2 exemplaires de "Mein Kampf"
et le pacte de non agression entre Hitler et Staline.

La débâcle au Nord de la France Mai-Juin 1940.

Quelques affiches durant l'occupation
et film sur la bataille de Stalingrad.

Reproduction d'un Bunker sur les côtes de l'océan.

La prise de Caen par les Canadiens et Britanniques.
Ce musée contient moult autres photos
et extraits de films de la 2ème guerre mondiale.
Vous pouvez voir une vidéo sur le débarqement
en cliquant sur le lien suivant :
http://www.vodeo.tv/documentaire/6-juin-1944-le-debarquement-en-normandie

Visitons certains points du débarqement
figurant dans la carte générale ci-après... :

...Tout d'abord la pointe du Hoc :

A mi-distance entre Omaha
Beach et Utah
Beach...

...la Pointe du Hoc domine la mer de ses falaises
rocheuses de 25 à 30 mètres de haut !

Ces falaises étaient couronnées par une batterie
(partiellement sous abri bétonné mais encore en
construction en juin 1944)
installée par les Allemands et ce à six kilomètres à
l'ouest d'Omaha
composé de six obusiers de 155 mm de fabrication française (155 mm G.P.F.
mle 1917)
datant de la Première Guerre mondiale et qui avaient été installés sur le plateau.

Il est intéressant de rappeler comment s'est déroulée
l'escalade de ces falaises par les Rangers
entre le 6 et 8 Juin 1944.

Des échelles de pompiers avaient permis aux Rangers d'accéder au sommet
tandis que d'autres y étaient parvenus en grimpant avec quelques cordes :

Quelques minutes plus tard les premiers soldats américains
se sont dirigés vers les bunkers,
et ont découvert un espace lunaire creusé par les bombes
des alliés au cours des mois précédant le débarqement :

Les allemands avaient disparu,
mais des snipers isolés ont alors ouvert le feu
en utilisant des trous creusés par les bombes.
En l'espace de quinze minutes, la Pointe a été prise et sécurisée
par les Américains.
Mais les Allemands avaient retiré les pièces d'artillerie de 155
mm.
Ces dernières avaient été remplacées, suite aux multiples bombardements
et en
attendant la construction de tous les abris bétonnés,
par des poteaux en bois
qui ont trompé les avions de reconnaissance alliés.

Une stèle est disposée en haut de cette falaise
pour rappeller l'exploît des rangers américains.
A l'heure actuelle, et à l'arrière de cette pointe du Hoc,
on peut visiter quelques bunkers qui étaient
munis de canons disparus au moment de l'assaut
des rangers.

De même on peut visiter un imposant bunker ...

...qui a été utilisé lors de la réalisation
du célèbre film "Le Jour le plus Long"

C'est depuis l'intérieur de ce bunker
que le soldat allemand du film
a aperçu les premiers navires du débarquement.

A partir de cette pointe du Hoc on aperçoit
la plage d'Omaha où tant d'américains ont trouvé la mort.

Rendons nous sur les plages d'Omaha Beach...

...où les Américains débarquèrent le 6 Juin 1944...

...une des plages les plus meurtrières...


...dénommée également Omaha la sanglante !

Autre vue de la plage d'Omaha Beach
avec d'anciennes tranchées allemandes au 1er plan.


Rendons nous en ce lieu où le recueillement s'impose :
Il s'agit du cimetière américain de Colleville.

Inauguré officiellement en 1956 avec son mémorial,
ce cimetière honore les
soldats américains morts
pendant la bataille de Normandie lors de la Seconde
Guerre mondiale.

Ce cimetière est situé
à deux pas de la plage d'Omaha Beach.


Ici reposent les corps de 9 387 américains.


Alignement de tombes à perte de vue.

La tombe d'un Brigadier dénommé
Théodore Roosevelt.

Un bunker camouflé en maison !

A Ouistreham, un musée mérite une visite :

Il s'agit de celui du Grand Bunker.
Cette tour de 5
mille tonnes de béton et d’acier unique en son genre,
dominant du haut
de ses 17 mètres les villas de Riva-Bella,
a été restaurée et
réaménagée afin de lui redonner
l’aspect qu’elle avait le 6 juin 1944.
Aux abords de cette tour transformée
en musée on remarque :
- Un prototype d'une des barques ayant déversé
les premiers soldats américains sur les plages.

- Divers canons...
...et chars utilisés par les Anglais et Américains.
A l'intérieur de ce musée à 6 étages
sont reconstitués des scènes
vécues par les allemands dans ce bunker :

Ci-dessus reconstitution des postes de garde
et de transmissions téléphoniques :

En effet, le but de ce bunker, qui avait vue sur la mer...
...consistait à surveiller les plages,
à l'aide d'un télémètre,
et de signaler toutes tentatives de débarquement
à l'armée allemande qui commandait
les batteries de l'estuaire de l'Orne.

La salle de restauration des allemands
occupant ce bunker, à tour de rôle.

La salle à usage d'infirmerie.

La salle de commandement
et de retransmission des informations
à l'armée allemande située à l'embouchure de l'Orne.
Vous pouvez consulter une vidéo animée,
étant précisé que c'est la barge dans la cour du musée
qui a été utilisée pour tourner le film "il faut sauver le soldat Ryan"
en cliquant sur le lien suivant :
https://www.youtube.com/watch?v=kAk2tHN92qQ

Le 6 juin 1944 à l'aube, 177 français libres
sous les ordres du commandant Kieffer :

posèrent le pied sur le sable
de la plage de Colleville
devenue aujourd'hui Colleville - Montgomery.
Venez découvrir leur
Histoire dans notre musée
en cliquant sur le lien suivant :
http://www.dailymotion.com/video/x8qyyz_musee-du-n-4-commando-ouistreham_news

Découvrons la ville de CAEN.
La célèbre Abbaye aux hommes.
Une 1ère histoire peut être avancée
pour expliquer la fondation de l'abbaye :
Elle consiste à faire de l'abbaye aux Hommes une œuvre d'expiation pour les péchés
commis
par le couple ducal formé par Guillaume le Conquérant et Mathilde de
Flandre.
En 1050 ou 1051, le duc de Normandie épouse Mathilde,
fille du comte de Flandre.
Leur mariage est prohibé par
le pape Léon IX.
En contrepartie du pardon accordé
par le Pape Nicolas
II,
ils fondent à Caen en 1059 deux abbayes bénédictines :
l'abbaye aux Hommes, ci-dessus, dédiée
à saint Étienne,
et l'abbaye aux
Dames dédiée à la Trinité dont on parlera ci-après.
Une autre histoire consiste à dire que :
Guillaume le conquérant cherchait à asseoir davantage son autorité
sur la basse Normandie où la
rébellion a été la plus forte.
Cela passait par la construction de châteaux, mais
également par la fondation d'abbayes,
selon un schéma classique en Normandie
depuis le Xe siècle.

Le chevet de l'abbaye est d'une remaquable harmonie.

Transformée en lycée au XIXe siècle,
elle abrite l'hôtel de ville depuis 1965.
L'abbaye offre un très bel ensemble architectural
construit entre le XIe et le XVIIIe siècle.

L'ancienne salle du chapitre de l'abbaye aux hommes,
actuellement salle des mariages.

La chaire, dans l'ancienne salle du chapitre.
Le cloître de l'abbaye aux hommes.
Les arcades du cloître, en plein cintre, sont encadrées par de fausses
colonnes
rectangulaires, légèrement en saillies, surmontées de chapiteaux doriques.
Les moines chassés à la Révolution
Le 2 novembre 1790, les religieux sont chassés de l'abbaye
en vertu de la loi
du 13 février-19 février 1790.
L'intérieur de l'église de l'abbaye se caractérise par une alternance des piles...
..et de vastes tribunes voûtées,
avec articulation en doubles travées,
et d'un déambulatoire.
"Zoomons" sur cette autre église
dénommée Saint-Etienne le Vieux...
...qui serait actuellement une paroisse,
la nef principale ayant été démolie par des obus allemands
lors de la "féroce" bataille, en vue de la reconquète de Caen
par les alliés, début Juillet 1944.

Rendons nous sur les lieux de l'abbaye aux Dames :
L'abbaye aux Dames est un monastère de moniales bénédictines fondé au XIe siècle par
la reine Mathilde, épouse de Guillaume le conquérant.
L'abbaye
est le siège du Conseil régional
de
Basse-Normandie depuis 1986.

Le pavillon Sainte Anne.
Les bâtiments conventuels autour du cloître.
L'escalier d'honneur des bâtiments conventuels.
La galerie du cloître et une partie de son plafond.
La façade de l'église de la trinité ne présente ici
ni la même simplicité, ni
la même puissance
qu'à Saint-Étienne.
Le principe de façade harmonique y est
néanmoins le même :
Deux tours carrées encadrant la façade rectiligne de la nef.
Le portail principal a été défiguré
au XIXe siècle
par un tympan sculpté
figurant la Sainte Trinité.
La nef est bordée d'arcades en
plein
cintre surmontées
d'une galerie (triforium) qui sert d'appui à la voûte d'ogive.
Le
transept sud présente des colonnes gothiques
intégrées dans la décoration
romane.
Ce meuble en bois sert de rangement
aux vêtements sacerdotaux.
L'église abbatiale de la Trinité abrite,
depuis 1083, le tombeau de Mathilde de
Flandre,
épouse de Guillaume le Conquérant.
Le baptistère de l'abbaye aux Dames.
Le Bénitier de l'abbaye aux Dames.

Rendons nous sur l'emplacement
du château ducal de Caen.

Voici ce qui reste de cette puissante forteresse
du XI°siècle qui a été la plus vaste d'Europe.
C'est d'une des portes de cette forteresse que
surgit l'armée
de Guillaume le conquérant, en route pour la conquête de l'Angleterre.
Sans remonter à la période qui a suivi Guillaume le conquérant, signalons qu'en 1940,
après la reddition de la France, les troupes du Troisième Reich occupent le château.
Mal
entretenus pendant des années, les bâtiments sont très vétustes :
A tel point
qu'en 1941, le front sud des remparts s'effondre.
Pendant le Débarquement de Normandie, des
Anglais et des Canadiens y sont emprisonnés.
Pendant la bataille de Caen, le
secteur du château est la cible des bombardements aériens et des tirs
d'artillerie.
Le château et ses abords sont sérieusement endommagés.

Construit vers 1060 par Guillaume le Conquérant,
le château ducal abrite le musée de Normandie
et le musée des Beaux-Arts de Caen
dont l'entrée figure ci-dessus.

Vue d'une partie des remparts.

L'entrée primitive côté université.

Tour Puchot au Nord-Ouest du château.

Salle de l’Échiquier du XIIe siècle.

L'église Saint Georges dans l'enceinte du château.

L'intérieur de cette Eglise.

Des fouilles ont lieu, actuellement,
sur l'emplacement du château
de Guillaume le Conquérant.

Reconstitution du château au 13° siècle.

Cap sur la ville de Bayeux...

...où nous sommes surpris par
l'imposante architecture de sa Cathédrale Notre Dame !
Elle a été consacrée en 1077 en présence de Guillaume le Conquérant,
septième duc de
Normandie et roi d'Angleterre.

En effet, cette cathédrale édifiée entre le XIe et le XVe siècle,
présente une architecture romane et
gothique normande.

La nef comporte deux niveaux :
les grandes arcades romanes du niveau
inférieur datent du XIIe siècle
tandis que
le niveau supérieur, de style gothique, est du XIIIe siècle.

Difficile de ne pas être
"sous le charme" de ses vitraux...
... commémorant la saga de Guillaume le Conquérant.

Cette cathédrale est
également remarquable
pour son grand orgue.
C'est aussi pour cette cathédrale qu'a été confectionnée
la célèbre
Tapisserie de Bayeux, broderie de laine sur une toile de lin,
sur près de 70 m de long et 50 cm de haut...
...qui
raconte l'histoire de la conquête de l'Angleterre
en 1066 par Guillaume le conquérant.

Voici quelques éléments de cette galerie.
...dont la bataille d'Hastings En haut
et la mort du roi Harold le 14 octobre 1066
En bas à droite.

sans oublier la représentation, sur cette tapisserie,
de l'observation du passage de la comète de Halley en Avril 1 066.

Avec ce petit train, effectuons un
petit tour de la ville de Bayeux...

...qui a conservé un riche patrimoine
architectural et
culturel...

...où nous remarquons nombreuses
maisons à pans de bois...

...des hôtels particuliers
tel celui d'Argouges du XV° siècle.

...ville entièrement épargnée
des bombardements en 1944.

1ère ville de France libérée
où le général de Gaulle a pris un bain de foule, le 14 Juin 1944,
et avait prononcé son premier discours sur notre sol Français.

Un autre lieu de souvenirs de
la 2° guerre mondiale :

Le Centre Juno Beach
à Courseulles-sur-Mer.
Lieu de mémoire et centre culturel en Normandie, ce centre
rend hommage
aux 45 000 Canadiens qui ont perdu la vie pendant la Seconde Guerre
mondiale,
dont 5 500 au cours de la Bataille de Normandie et 359 le Jour J.

Fondé en 2003 par des vétérans et des bénévoles,
il présente l’effort de guerre
civil et militaire de toute la population au Canada
et sur les différents fronts
durant la Seconde Guerre mondiale.
Ce musée retrace toutes les actions menées par les Canadiens,
dans ce secteur de Normandie en 1944, et contient un film
et de nombreuses photos et textes qu'il est difficile de montrer sur ce site.
Par contre, il est plus aisé de montrer les extérieurs
de ce musée qui nous ont impressionnés...

...notamment par les restes de plusieurs
moyens de défense des allemands...
...ainsi que par les restes de blockhaus allemands
sur la plage, où débarquèrent les Canadiens...

...sans oublier la présence d'anciens canons canadiens.
...Enfin, très émus par les inscriptions
aux abords de la plage de Juno Beach...

...en revivant certaines scènes du débarquement.
Dernière ville visitée lors de ce voyage :
Alençon.
Alençon étant la préfecture du département de
l’Orne
située dans la région Basse-Normandie.
Son hôtel de ville (place Foch) :
bâti en forme d’arc de cercle de 1783 à 1788 par
l’architecte Delarue.
À l’origine, la Mairie n’occupait que la partie centrale.
Ce n’est qu’au XIXe siècle que la ville d’Alençon se
porta acquéreur
des parties droite et gauche qui étaient la propriété de
particuliers.
Sa basilique Notre Dame.
La nef de cette basilique date du XV° siècle.
Suite à un incendie, le chœur et le clocher
ont été reconstruits au
milieu du XVIIIe siècle.
Cette église Notre Dame a été élevée au rang de basilique, le 6 Juin 2009,
par Benoît XVI suivant décret de la Congrégation
pour le culte divin et la discipline des sacrements.
La Maison d’Ozé (XVe siècle) :
l’échevin Jean de Mesnil la fit construire en 1450.
Charles de Valois, duc d’Alençon et son épouse, Marguerite de Navarre y
vécurent
et y auraient même invité le futur Henri IV en 1576.
Menacée de destruction en 1899, elle fut
classée
monument historique en 1903 et restaurée.
Elle abrite aujourd’hui
l’office du tourisme.
Une maison à pans de bois
face à l'entrée de la Basilique Notre Dame.
Quelques immeubles de la ville.
Alençon n'oublie pas qu'elle a été libérée
par le Général Leclerc en 1944.
Le parc des promenades.

Vous pouvez visiter une autre région de Normandie
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